LIBRE RÉSERVÉ PRIS

Adam a toujours été un fils pourri gâté même s'il ne voulait pas forcément de tout cet argent. Ses parents lui avait promise une jolie et gentille jeune fille avec qui il devait se marier et avoir des enfants. Malheureusement, sa rencontre avec la belle Eli chamboula tout se plans. Il passa d'une jeune fille de la haute à une clandestine sans argent. Il veut cette femme certes, mais comment l'avoir sans être déshérité ?

L'histoire est assez libre dans l'ensemble, il faut juste qu'il soit un enfant de riches, toujours avoir eu une vie parfaite. L'élément déclencheur dans sa vie fut sa rencontre avec Eli, c'est elle qui fit tout changer. Pour toute question n'hésitez pas à m'envoyer un Mp, j'adore être harcelée (a)

Je me baladais sur le pont supérieur quand l’équipage faisait la ronde pour s’assurer qu’il n’y est pas de clandestins. Plus ils approchaient plus j’avais peur c’est alors qu’une idée me vint. Un jeune homme me regardait depuis tout à l’heure c’est alors que je me suis approchée de lui et que je l’ai embrassé au moment ou les autorités passaient. Les hommes ont sifflé et sont partis en me regardant avec ce regard que je déteste. Je détachai alors mes lèvres de celles de l’inconnu. « Je suis désolée, je, je devais échapper aux autorités, je … » « Tu es une clandestine, ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te dénoncer. » « Mais pourtant tu donnes l’air d’être un première classe. » « En effet, mais toutes les premières classes ne sont pas comme mes parents ou tout ses gens de la haute ». Je souris et baissa la tête tandis que j'entendis son gracieux rire. Dans une pulsion je le pris dans mes bras comme pour le remercier et il déposa délicatement sa main sur la cambrure de mon dos. Je me suis alors retiré et il me fit un baise main puis je fis une courbette et je partis doucement tout en le regardant par-dessus mon épaule. Il était si beau. Je n'avais partagé que quelques instants avec lui et pourtant j'avais déjà l'impression d'être sa plus vieille amie, voir plus.

Pendant que je traînais dans les couloirs, faisant comme si je cherchais ma chambre, je recroisais l'inconnu. Je sentis mes joues rougir. Il s'avança vers moi : « Bonjour mademoiselle ». Je fis la même courbette que lors de notre première rencontre. « Bonjour, monsieur. Puis-je vous demander pourquoi ne m'avez vous pas dénoncé ? Après tout vous m'aviez dit que vous n'étiez pas de ce genre-là, mais mentir est si facile de nos jours. Alors, puis-je savoir ? » « Tout simplement parce que je vous apprécie mademoiselle. Vous êtes de très bonne compagnie. Puis-je vous inviter à dîner ? Disons demain pour le déjeuner. Passer dans ma chambre, je pourrais vous prêter une robe de ma mère, elle ne verra rien. A demain chère demoiselle. ». Il ne me laissa pas le temps de répondre si oui ou non je voulais bien accepter ce rendez-vous, il devait savoir que je ne refuserais pas.